Le 5 mai 1994 au Rwanda, le bilan était de deux-cent-trente-deux-mille personnes tuées. C’est un bilan a-posteriori, car en ce moment-là, la vie s’était arrêtée; elle n’arrêtait de s’arrêter, c’était la fin du monde …
La nuit ne peut être racontée que par une personne qui l’a vécue!
Proverbe rwandais.
Pour toutes ces vies qui se sont arrêtées, merci de continuer à semer des graines d’espoir.