Nous nous souvenons des huit-mille (8.000) personnes qui ont été tuées le 3 mai 1994 au Rwanda, de celles qui avaient été tuées avant, de celles qui allaient mourir après ce jour, pendant 100 jours en tout.
Le temps est très lent pour ceux qui attendent, très rapide pour ceux qui ont peur, très long pour ceux qui se lamentent, très court pour ceux qui festoient. Mais pour ceux qui aiment, le temps est éternité.
William Shakespeare
Des jeunes, des innocents, des personnes âgées, des enfants, des mamans, des pères de familles, tués de différentes manières, parce que coupables du seul crime d’être « différents » : avoir des parents, des histoires, des opinions, des rêves … « différents »?
Nous nous rappelons de ce qui se passe lorsque la haine? la convoitise? la jalousie? l’ignorance? l’envie du pouvoir? l’irresponsabilité? l’irrespect? le désespoir? la bêtise? la frustration? la colère? la folie? … s’emparent de l’homme.